Ce soir sur TF1 Taxi 4 avec Samy Naceri et Luc Besson : le culte de la comédie française à ne pas manquer

En résumé

  • 🚖Taxi 4
  • 📺TF1 à 21h10
  • 🎬Comédie d’action française culte où Daniel et Émilien, duo déjanté, affrontent un braqueur dans des courses-poursuites hilarantes à Marseille ; cascades, humour et répliques cultes au rendez-vous.

Taxi 4, la saga signée Luc Besson et réalisée par Gérard Krawczyk, s’invite ce soir sur TF1 pour une soirée pleine d’adrénaline, de fous rires et d’action made in cinéma français. À partir de 21h10, préparez-vous à retrouver la Peugeot 407 blanche la plus célèbre du grand écran, pilotée par l’inoubliable Samy Naceri dans le rôle de Daniel Morales. Cette quatrième course-poursuite effrénée dans les rues de Marseille vous promet de renouer avec l’univers burlesque qui a bousculé le box-office des années 2000. L’héritage de Taxi n’a jamais semblé aussi actuel : gags en cascade, parodie du système et amitié à toute épreuve. Impossible de résister à ce classique du divertissement populaire qui a formé toute une génération de fans.

Taxi 4 : une mécanique bien huilée signée Luc Besson et Gérard Krawczyk

Tout commence avec un scénario à la croisée du rire et de la course contre la montre : un dangereux braqueur surnommé « le Belge » échappe à la police marseillaise, forçant le commissaire Gibert (toujours spectaculaire Bernard Farcy) à faire appel au duo détonant Daniel et Émilien (Frédéric Diefenthal). Rien ne change et c’est ça qu’on aime : suspicion, quiproquos, incompétence cocasse côté force de l’ordre, et réflexes de génie pour nos « petits » héros du quotidien. La recette fonctionne encore : chaque séquence carbure à 200 à l’heure, chacune sert la parodie jubilatoire d’un certain rapport français à l’autorité et au chaos urbain. C’est caustique, irrévérencieux, mais toujours dans l’esprit bon enfant qui a valu à la saga un statut d’œuvre culte du cinéma populaire.

Ce quatrième épisode ne prétend pas « réinventer la roue » mais célèbre ce qui fait le charme de Taxi : l’ultra-efficacité des scènes de poursuite — dont une majorité réalisées sans effets numériques, prouesse rare au moment où le numérique colonisait le genre —, l’humour slapstick à la française et le sens du rythme. La Peugeot 407 blanche y est une star à part entière, véritable mascotte de la pop culture cinématographique hexagonale. Les rues de Marseille, elles, restent le théâtre privilégié pour une comédie d’action qui n’oublie jamais ses racines locales.

Un casting indissociable de la franchise Taxi

Pour les nostalgiques comme pour les nouveaux spectateurs, difficile de dissocier la saga Taxi de son casting de choc :

  • Samy Naceri : propulsé super star populaire, il habite son personnage de Daniel, taximan virtuose et roi de la punchline.
  • Frédéric Diefenthal : Émilien, inspecteur aussi tendre que maladroit, incarne à lui seul l’archétype du citoyen lambda parachuté dans des situations toujours plus farfelues.
  • Bernard Farcy : le commissaire Gibert, dont la folie douce et les maladresses sont devenues cultes.
  • Sans oublier Emma Sjöberg, Jean-Christophe Bouvet, Édouard Montoute et Jean-Luc Couchard qui prête ses excès au « Belge » antagoniste du jour.

Le succès de Taxi 4 a définitivement installé ses acteurs dans la galaxie incontournable du cinéma français. Bernard Farcy restera, pour beaucoup, éternel Gibert et Gérard Krawczyk rafle avec cette réalisation la couronne du divertissement populaire, confirmant sa patte capable de mélanger action, burlesque et auto-dérision façon montage nerveux et écran saturé de bonne humeur.

L’héritage Taxi dans la pop-culture et l’influence des répliques cultes

Un film Taxi, c’est aussi tout un cortège d’anecdotes croustillantes. On se souvient que les cascades réalistes donnaient un cachet unique au film, que les caméos improbables de sportifs stars ou de célébrités faisaient le bonheur des connaisseurs, et que l’ambiance sur le tournage relevait parfois du sport de combat à cause des frasques rapportées de Samy Naceri… Autant dire que la saga s’est construite autour d’une réputation bien à elle, entre souvenirs people, enfants émerveillés par la mythique Peugeot et adultes attachés à leurs répliques fétiches du commissaire Gibert (« Mais c’est pas possible, c’est pas possible ! »).

Côté chiffres, Taxi 4 ne flanche pas : plus de 4,5 millions de spectateurs en salle, des notes généralement situées entre 2,5 et 3/5 (il faut voir la tendresse du public, souvent plus enthousiaste que la critique), et une influence qui perdure. Preuve, s’il en fallait une, que Taxi 4 — malgré les reproches parfois adressés à son humour ou son scénario — conserve cette énergie communicative qui fait la marque des films fédérateurs.

Pourquoi Taxi 4 reste la référence de la comédie d’action en France

À l’heure où la nostalgie et le fun cartonnent sur toutes les plateformes, la proposition Taxi résonne comme un rappel réjouissant de l’identité du divertissement à la française. Ce soir, installez-vous, klaxonnez votre télécommande et laissez-vous embarquer pour une virée dont seul Taxi 4 a le secret.

Quelle réplique culte de Taxi résonne encore le plus aujourd'hui ?
Mais cest pas possible cest pas possible
Tu vas prendre cher
Cest du brutal
On va faire du bruit
Marseille bebe

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